La Xbox One et la PS4 s’affronteront sur le ring pour les fêtes de fin d’année. Dévoilées à quelques jours d’intervalle, les consoles seront comparées, étudiées et observées sous toutes les coutures. Depuis l’officialisation et la communication de la date de sortie (22 novembre pour Microsoft, 29 novembre pourSony), l’engouement est de plus en plus important. Certains estiment comme Adrian Chmielarz (développeur) que la console de Redmond serait moins performance, il y aurait même une différence de vitesse de 50%. Dans la réalité, le résultat pourrait être toutefois différent, car la Xbox One n’aurait pas dévoilé l’intégralité de ses secrets.

Albert Penello (Microsoft senior director) explique que « Microsoft a quelques-uns des plus brillants programmeurs graphiques dans le monde […] Ainsi, alors que les gens glorifient Sony pour leurs compétences hardware, pensez-vous vraiment que nous ne savons pas comment construire un système optimisé pour maximiser les graphismes pour les programmeurs ? ». Il précise également qu’il « n’y a aucun moyen pour que nous donnions un avantage de 30% à Sony. Et quiconque a vu les deux systèmes en cours d’exécution pourrait dire qu’il y a de beaux jeux sur les deux systèmes. S’il y avait des différences de performance vraiment énorme, ce serait évident ». Ainsi, la Xbox One et la PS4 ne seraient pas réellement aussi différentes au niveau de la puissance.

Une présentation exclusive ? 

A moins de deux semaines de sa sortie, l’excitation autour de GTA 5 monte d’un cran. Visiblement plus disponibles depuis que le jeu est passé Gold, les développeurs enchainent les déclarations. Phil Hooker précisait ce matin qu’il considérait GTA 5 comme un jeu next-gen. Dan Houser, co-créateur de Rockstar, a pris le relai dans l’après-midi avec une révélation qui en fera pâlir plus d’un. Interrogé par The Guardian sur une éventuelle adaptation cinématographique, Dan a répondu :

“Nous avons un jeu Open World qui se déroule sur 100 heures et qui donne au joueur le contrôle sur ce qu’il fait, ce qu’il voit et comment il le voit. Un monde dans lequel on peut tout faire depuis un cambriolage de banque jusqu’à la leçon de yoga à la télé. Comment voulez-vous condenser tout cela en 2 heures ?”

Source : The GuardianIl est vrai qu’adapter un tel jeu ne serait pas une mince affaire. 100 heures à parcourir Los Antos et ses environs, une durée de vie peu croyable… Dan inclut-il Grand Theft Auto Online dont la sortie se fera le 1er octobre, on imagine que oui. Les possibilités offertes par GTA 5 semblent infinies. En plus d’un trio de personnages plus cinglés les uns que les autres, quoique Trevor semble avoir une longueur d’avance, le jeu s’annonce bourré de contenus en tout genre. Vivement le 17 !

Selon la dernière étude REC+ de l’institut GfK réalisée du 13 mars au 5 avril et portant sur un panel de 2 314 personnes âgées de 10 à 65 ans, les Français jouent de plus en plus aux jeux vidéo. En 2011, la même étude indiquait qu’en moyenne 10 heures et 41 minutes étaient consacrées au média par semaine. Aujourd’hui, 12 heures et 12 minutes serait la nouvelle moyenne.

Pourtant, le temps de jeu sur PC ou console ne bouge pas trop. L’étude indique que le nombre de Français à avoir récupéré des applications ou jeux sur smartphones et tablettes a augmenté de 50% en un an. Gaël Babarit, analyste chez GfK précise : « Mais depuis plus d’un an la pratique nomade du jeu augmente, grâce au développement des mobiles, et permet de convertir du temps mort dans les transports par exemple, notamment avec des jeux ou des applications de ‘casual gaming’ ».

Source : Le MondeCette pratique accrue du jeu vidéo ne semble pas empiéter sur le temps passé à écouter de la musique (6h22 contre 6h en 2011) et à lire des livres (5h32 contre 5h36). En revanche le temps passé à regarder des vidéos lui augmente. On passe ainsi de 3 heures et 43 minutes à 4 heures et 23 minutes par semaine. L’explication de GfK est simple : « Il y a de plus en plus de services qui sont mis en place, et le streaming comme la TV de rattrapage sont donc en progression ».

source : le monde 

Facebook ne fait généralement pas l’unanimité pour sa politique concernant la confidentialité des données des utilisateurs. Une modification devait être mise en place il y a quelques jours, mais l’une des améliorations a effrayé les internautes. Ces derniers ainsi que les médias ont massivement relayé l’information. La société deMark Zuckerberg a été contrainte de réagir face à cette nouvelle polémique. L’entreprise a donc spécifié que cette modification n’allait pas être mise en place immédiatement. Elle souhaite donc « prendre le temps de s’assurer que les commentaires des utilisateurs sont examinés et pris en considération ».

L’objectif pour Facebook est de déterminer « si d’autres mises à jour sont nécessaires et nous nous attendons à finaliser le processus dans la semaine à venir ». La société de Mark Zuckerberg n’a donc pas l’intention de supprimer cette mise à jour, mais elle pourrait subir quelques aménagements dans le but de clarifier certaines données. La polémique est née il y a quelques jours sur Internet lorsque certains médias se sont intéressés à cette modification des conditions d’utilisations. Facebook estimait que l’utilisateur du réseau social permettait « à une société ou n’importe quelle entité de payer Facebook pour afficher son nom et/ou sa photo de profil avec son contenu ou ses informations, sans aucune compensation financière pour lui ».

Les Google Glass ont été utilisés pour la première fois dans un bloc opératoire. Rafael Grossman a été le premier chirurgien à porter les lunettes connectées lors d’une intervention chirurgicale. L’objectif était de retransmettre en direct les différentes étapes de l’opération. Les Google Glass sont souvent critiqués par certains défenseurs de la vie privée. En effet, des personnes estiment que les lunettes connectées transformeront l’être humain en cyborg. D’autres ont donc commencé la chasse aux Google Glass qui ne devraient pas voir le jour avant 2014. Toutefois, elles peuvent avoir une réelle utilité notamment dans le domaine de la médecine.

Les chirurgiens les perçoivent comme un outil d’enseignement universitaire. L’intervention filmée dans l’Ohio a été retransmise en direct. Un groupe d’étudiants a donc pu suivre en temps réel le déroulement de cette opération. Un second avantage a été observé puisque le docteur Christopher Kaeding qui portait les Google Glass lors de l’opération du 21 août a pu communiquer via les lunettes connectées avec un collègue. Ainsi, lors d’une opération, les chirurgiens pourront obtenir un avis extérieur en utilisant les lunettes sans demander à la personne de se déplacer. Cette dernière pourra intervenir en temps réel lors de cette opération chirurgicale qu’elle soit bénigne ou importante. Le docteur Rafael Grossman a été le premier à les utiliser au début du mois juin. Il posait une sonde gastrique par endoscopie.